Darc Tattoo: La lumière du noir

La mort de Daniel Darc (Daniel Rozoum 20 mai 1959-28 février 2013) a généré un curieux livre. Rédigé par Bertrand Dicale à la suite de plusieurs entretiens avec le chanteur, Tout est permis mais tout n'est pas utile laisse, fort logiquement, un goût d'inachevé.
Et pour cause.
Le récit de Bertrand Dicale construit une cohérence biographique à partir des différents échanges qu'il a eus avec Daniel Darc jusqu'à sa mort. Ce dernier devait retravailler, à sa façon, le matériau ainsi obtenu, tailler dans la masse du récit.
Daniel Darc devait "réécrire dans son rythme, dans son style, réaménager, redisposer, oser des cut-ups, piéger l'exercice du récit" (Bertrand Dicale, "A propos de ce livre", p.8). Cette réécriture n'a pas eu lieu. Daniel Darc est mort alors que Bertrand Dicale l'attendait pour un nouvel entretien. Si tout le livre est écrit à la première personne, on sent néanmoins qu'il a été écrit par Dicale, avec de trop brèves …
Et pour cause.
Le récit de Bertrand Dicale construit une cohérence biographique à partir des différents échanges qu'il a eus avec Daniel Darc jusqu'à sa mort. Ce dernier devait retravailler, à sa façon, le matériau ainsi obtenu, tailler dans la masse du récit.
Daniel Darc devait "réécrire dans son rythme, dans son style, réaménager, redisposer, oser des cut-ups, piéger l'exercice du récit" (Bertrand Dicale, "A propos de ce livre", p.8). Cette réécriture n'a pas eu lieu. Daniel Darc est mort alors que Bertrand Dicale l'attendait pour un nouvel entretien. Si tout le livre est écrit à la première personne, on sent néanmoins qu'il a été écrit par Dicale, avec de trop brèves …